=== MÉTADONNÉES DE L’ARTICLE === Sujet: lanceur Rédacteur: Morcias Cheninja Ton: scientifique et rigoureux Époque/Perspective:

=== MÉTADONNÉES DE L’ARTICLE ===
Sujet: lanceur
Rédacteur: Morcias Cheninja
Ton: scientifique et rigoureux
Époque/Perspective: perspective contemporaine (2024-2025)
Date de génération: 2025-06-18 14:43:20
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L’air est épais, presque palpable, dans les archives de la Marine. Il ne s’agit pas d’une odeur de poussière et de bois usé, non. C’est un parfum subtil, presque métallique, qui se mêle à l’odeur âcre du vieux papier et de l’encre. Depuis trois semaines, je suis plongée dans le dossier de Silas Blackwood, un lanceur, disparu lors d’une expédition en Arctique. On dit que son dernier signal était un message crypté, une note fragmentée sur la « convergence des énergies du Nord ». Je me souviens de l’image qu’il avait transmise : un crépuscule perpétuel, une silhouette imposante cachée derrière un glacier de glace noire, et une phrase qui a résonné dans ma tête : “Le voile se déchire au cœur de la nuit.” Blackwood était un prospecteur d’énergie, spécialisé dans l’observation des fluctuations magnétiques. On parle de phénomènes inexplicables, de « fractures dans le tissu cosmique ». Je commence à me demander si les récits du groupe de recherche sur place sont simplement des embellissements, ou s’il y a quelque chose de plus sombre derrière cette façade de science. La glace, elle, est plus froide que tout ce qu’on peut imaginer ; une froideur qui semble… comprendre. Est-ce que le Nord se déchaîne, ou est-ce que Blackwood a découvert quelque chose qui l’a emporté ?

— Morcias Cheninja, Journaliste scientifique et explorateur de l’inconnu

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